La page 194 est la page 119
où il est dit :
Il s'agit des passages
illisibles, encore en chantier. Mais cette hésitation me semble bien être le
fait de tout l'ouvrage qui me laisse donc perplexe. Encore que les choses aient
pu changer si Bataille n'avait pas été contraint
« Ah, serre les dents, mon
fils ! tu ressembles à ta pine, à cette pine ruisselante de rage qui crispe mon
désir comme un poignet. »
Ce sont les derniers mots du
texte. Ils laissent présager ce qu'aurait pu être la totalité si Bataille
n'avait pas semblé hésiter (tant que je m'en souvienne, c'est le seul mot cru –
pine – de tout le texte)...
(Y a-t-il correspondance de
dates entre celle du marque-pages et celle de la première lecture ? Je peux le
supposer.
(J'ai peine à croire
aujourd'hui que Léo et moi ayons pu nous abandonner à la réalisation aussi
hideuse de ce carton d'invitation...)
16 novembre 2000