Je délaisse provisoirement Calvaire des chiens dont les premières pages, qui
sentent le truc, m'irritent. Je passe à Histoire de l'œil, prélevé
en hâte hier soir dans la souffrance ; en hâte et au hasard, c'est le fin
dos blanc qui avait attiré ma main ; mais aussi, sans doute, mon esprit à
l'autre bout qui a dû désirer un prolongement, voire une illustration, à mes
préoccupations de ces derniers jours. Et ainsi, dès la première page, pisse,
foutre, fesses et branles à tous les repas...