Après réflexion, je ne crois pas. Car c’est une question de mentalité. Le besogneux économise pour économiser. On n’achète pas ses chaussures à Auchan pour un jour se payer des Berlutti, on ne mange pas au Flunch pour aller un jour au Comme chez soi. Ou alors, qu’entend-il par luxe ? Chacun évolue et vit dans son monde et le petit reste chez les petits. À coût égal, personne n’accepterait d’habiter notre maison, etc. Je ne sais d’où l’auteur tire ses conclusions, mais je crois pouvoir dire, pour vivre dans le milieu ordinaire depuis 25 ans, de quoi est fait l’homme moyen moderne. Et c’est bien de lui qu’il s’agit ici, soit « l’homme de la rue »…