De oike?, habiter, demeurer : la terre cultivée ou habitée (opposée au désert) ; par extension, toute la Terre, l’univers. Ce n’est sans doute pas dans ce sens qu’il l’utilise, car :

« Dans cet univers menaçant en vertu de son altérité absolue […], il collecte [le nomade motorisé] patiemment les éléments ordinaires de son œkoumene, et la banalité agit sur lui comme un baume apaisant. »

 

Il me vient à l’esprit « Ikea » qui n’est sans doute pas étranger à « oikia » l’habitation.