« […] “ la poussée vers le haut ” qui caractérisait la vie américaine, par laquelle de générations en générations les basses classes s’élevaient d’un échelon dans la société est à peu près achevée ; elle était corrélative de l’existence de frontières ouvertes et d’une économie favorable aux petites entreprises. Aujourd’hui l’immigration est presque arrêtée […] ; il n’y a plus de terres vacantes, l’agriculture traverse une période de dépression, l’industrie est organisée si bien qu’il faut d’énormes capitaux pour lancer une affaire quelconque, il n’y a plus de chance en Amérique pour le self-made man. »