« Je
me rappelle que le premier soir de mon séjour à New York un
Français ma demandé de ne rien écrire sur la question
noire, sous prétexte quen trois mois je ne pouvais rien
comprendre. Je conviens que mon expérience est mince pour un si
grand sujet ; ce serait, cependant, la dénaturer que de ne
pas parler dun ensemble de faits auxquels si souvent je me
suis heurtée et qui ont une si grande importance dans la vie
américaines. »