« […] leurs collines [des villes de bord de mer] sont utilisées comme élément architectural ; les rues en épousent les courbes, elles grimpent en spirale, si bien que presque partout on aperçoit la mer ; le plan compliqué sur la carte apparaît dans la réalité naturel et simple. C’est tout le contraire ici : San Francisco est un scandale d’abstraction têtue, un délire géométrique. Le plan a été tracé sur le papier sans que l’architecte jetât un coup d’œil sur le site. »