J’y avais remis le nez il y a quelque temps, mais sans grande conviction ; je ne le termine pas, c’est trop technique, sec.
Notes :
69 ALDES ?
« Si le prix des livres avait chuté en 1840, cela n’empêchait pas les aldes de toujours passionner des hommes d’origine très différente et aux intérêts les plus divers. »
Tout ce que je trouve sur le réseau, c’est qu’il s’agit du nom d’une entreprise actuelle. Il me semble pourtant que j’ai déjà fait la recherche et trouvé…
En tête de texte, je lis : « L’engouement pour les éditions aldines […] était déjà en plein déclin en 1840. » Mais aussi, à l’instant (où ai-je donc la tête ?), le titre : « Alde Manuce à Venise ». Il s’agit en effet des « ouvrages sortis des presses de la famille Manuce, et surtout d’Alde Manuce » (site « cosmovisions »). Mais les aldes, alors ?
108 Quarante-huit pages
Question posée à Henri-Jean Martin, historien : « Pour l’historien, le livre, c’est quoi ? » « Je vous répondrai, parce que je suis bibliographe, que le livre est d’abord un objet écrit de plus de 48 pages. »
18 juin 2016