Je lis La Grimace enduit de lait. Une
musique pour imbéciles s’élève de je ne sais où. De ce fait, la mer redouble de
fureur, mais ne peut rivaliser ; les éléments ne sont plus ce qu’ils étaient
(eux qui étaient les maîtres incontestés de l’espace et du temps et sont
désormais relégués au rôle de sous-fifre, de subalterne dans l’épopée du
conditionnement et de la fantaisie technologique)…