Laura et Romero ne sont pas rentrés ; nous avons donc mangé et passé la soirée à deux. Éléonore vient de me quitter pour aller au lit. Elle emballait quelques livres (sur mon second bureau : elle utilise de moins en moins sa table) tandis que je peinais à poursuivre Berendt. Je lui disais auparavant que toute la partie consacrée à Save Venice m’ennuyait un peu, mais je m’aperçois que c’est avant tout la fatigue qui m’empêche d’y entrer tout à fait, fatigue du bureau les jours derniers, celle des puces aujourd’hui (il n’empêche que je me serais bien passé de nombreux détails liés à certains personnages de cette affaire – « I know, but he’s American. »)...

 

18 avril 2015