Treviso aeroporto.
Éléonore tente de travailler à sa traduction, César cherche les timbres qu’il
n’a pas achetés ; finalement, il se met aussi à la lecture après avoir confié
ses cartes postales à deux douaniers qui boivent un coup au bar miraculeusement
ouvert au moment de l’annonce du retard (lequel des deux a provoqué l’autre ?).
Je me suis oublié parmi les lecteurs : j’ai poursuivi, un peu laborieusement à
cause des circonstances (le bruit, le passage entre les deux rangées que nous
formons), L’esotico
quotidiano.