« Il lavoro comincia a mostrare alcuni timidi frutti : l’abitato di Mornag non appare più come un tutto indistinto e cominciano a essere individuate aree specifiche, spaziali e sociali. Meno semplice, per ora, il problema dei rapporti con il territorio agricolo. Infatti, se, da una parte, è direttamente accettabile il fatto che il territorio di Mornag costituisca ormai soltanto una chiazza agricola nella pelle di leopardo metropolitana, non altrettanto immediato è, per ora, il riconoscimento della geografia trasformativa del tessuto agricolo-urbano. È, ancora una volta, un problema di riconoscimento di un margine e, ancor più, di far capire cos’è un margine. Anche troppo facile (con relativi “ rischi ” di deviazione) il problema della creazione di un vero centro urbano. […] c’è stata la prima vera discussione interpretativa del luogo. Individuazione dell’ “ uccello urbano ” e ipotesi di rotazione degli assi direzionanti il paesaggio antropizzato. »

 

« Le travail commence à porter timidement ses fruits : l’agglomération de Mornag [lieu de Bou M’hel en Tunisie] n’apparaît plus comme un ensemble indistinct et des aires individuelles spécifiques (spatiales et sociales) commencent à se distinguer. Moins simple, pour le moment, est le problème des rapports avec le territoire agricole. En fait, si, d’un côté, il est immédiatement acceptable que le territoire de Mornag constitue à présent une tache agricole dans la peau du léopard métropolitain, l’identification de la géographie transformative du tissu agricole-urbain n’est pas, pour l’instant, aussi immédiate. C’est, encore une fois, le problème de l’identification de la limite et, davantage, celui de faire comprendre ce qu’est une limite. Le problème de la création d’un véritable centre urbain (avec des “risques” relatifs de déviation) est trop facile aussi. […] ça a été la première vraie discussion interprétative du lieu. Individuation de “ l’oiseau urbain” et d’hypothèses de rotation des axes dirigeant le paysage anthropique. »