Le con français du second, avec sa radio/ordinateur/télé, est toujours là ; il « écoute » un programme apparemment radiophonique sans musique pour l’instant ; va-t-il se décider à aller se promener ? Il range la table, fait racler les chaises. Le soleil tente une percée, il fait doux, bon. Je pensais me remette à Baricco, mais ça va être difficile avec le son de la « radio »...

 

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