Bernanos dont j’ai
parlé dans mon dernier émail à Tibère qui, en réponse, le qualifie
d’incandescent et de fulgurant. C’est exactement cela. Du coup,
j’ai eu l’envie de m’y brûler à nouveau et faute
d’autres textes sous la main, de relire l’un ou l’autre de
ses deux colosses (peut-être Le Curé). Tibère parle également de
Dostoïevski. Soufre, noirceur jusqu’à l’invraisemblance,
c’est vrai qu’il y a de cela aussi (penser à relire
Dostoïevski)…
22 mars 2002