
Je pourrais ajouter d’un « jeune »
curé de campagne… La force et la fragilité de la foi ;
la vie à la campagne, celle des gens qui sont ses « fidèles » et dont
il est la proie. Tout en lisant, je pense à Casanova
dont j’ai interrompu la lecture pour entreprendre celle-ci, poignante et
tragique. Il est curieux, et amusant, de penser aux deux mis en parallèle…