En rangeant Sous le soleil de Satan à sa place,
je me suis aperçu que je possédais d’autres Bernanos (que j’avais
lu puisqu’ils étaient dans la bibliothèque et non dans la souffrance). Je
ne me souvenais que du Crime. Un autre est Le dialogue des Carmélites
qui m’est alors revenu à la mémoire, et le dernier, Le journal
d’un curé de campagne. Il m’a fallu le prendre en mains pour
que les choses se remettent en place. Je ne me rappelais pas l’avoir lu
et, en considérant le marque-pages vierge à la page 29, j’ai pensé
au site. J’y suis allé voir et en effet y figure un commentaire :
« Arrêté à la page 28, etc. »
J’ai décidé de le reprendre au point où je
l’avais laissée…
11 mars 2002