Je sais pourquoi. Parce qu’elle me disait un jour qu’elle ne pouvait s’empêcher d’avoir sans arrêt en tête les choses à faire dans la journée, ou le lendemain, ou plus loin dans l’avenir. Qu’elle avait toujours devant elle le déroulement d’un plan, d’un programme (sauf lorsqu’elle lisait : la lecture a cette capacité chez elle, que je n’ai pas,

de la déconnecter de l’extérieur).

 

(À bien y réfléchir, il en est un peu de même pour moi…)