J’ai pris ta voiture pour aller m’acheter du tabac et poster une lettre pour ma mère avant de la déposer chez Gaspard. Retour, cigarette dans le jardin en yukata (que j’avais hésité à retirer pour sortir) avec la suite de Chronique japonaise où il aborde les réelles impressions de voyage... 1955, plusieurs mois passés dans les cuisines d’un navire pour payer son voyage, débarquement au Japon sans un sou, il arrive à Tokyo. C’est bien écrit, fin, et non sans humour. Mais il a vite fait trop chaud, même sous le parasol, et j’ai renoncé au bout d’une demi-heure. J’ai sorti le chien. Au retour, je me suis fait un jus d’orage...