Le Bouddha Çakya-Muni « ayant prêché le respect de toute vie, laissé des sermons (sutra) et formé des disciples, meurt, et toute la création, désolée, plantes, insectes, hommes et animaux, s’assemble pour veiller sa dépouille. Sauf le chat, qui a préféré ce jour-là “ aller à ses affaires ”, et s’est ainsi taillé dans toute l’Asie bouddhiste, une réputation de vaurien qui dure encore. »