
Je termine The Flute Player de Thomas et écris
: « Tout cela pourrait faire un film tout à fait honnête. Et que
dire d'un livre que l'on lit en pensant au film qu'il pourrait faire, que l'on
lit comme l'on regarderait un film ? (Amusant : je referme le cahier,
m'empare de la lecture suivante, Calvaire des chiens, François Bon, et
je parcours les premières lignes : “ Il portait un
vêtement rouge décoré de l'ours emblème de B., avait posé son gros cartable et
relancé ses cheveux en arrière : un livre comme un film, c'est ça qui me
tenterait. ” »)
6 novembre 2000