« Thomas recalls the atmosphere in the Magic Band in the run-up to the recording of the album: ‘He was a tyrant, very demanding, very controlling. You couldn't really bring in anything from the outside world without it either meeting his total approval or his complete disapproval. It was like walking on eggshells working with him. Don was extremely paranoid. His whole genius might even boil down to a very extreme kind of paranoia. We're all able to appreciate the extreme creativity that it fed, but it also had a negative side and it made him very, very sensitive to nuance. If there was some little thing in what you said to him that he was ensure about, it could turn into a huge thing without you realizing that you'd done anything. I was often in fear of saying or doing the wrong thing that would suddenly turn Don's negative focus on me.’ »

« Thomas se rappelle l'atmosphère qui régnait dans le Magic Band pendant la période de préparations de l'enregistrement de l'album : “ C'était un tyran, terriblement exigeant, contrôlant absolument tout. Il était absolument impossible de faire entrer quoi que ce soit de l'extérieur sans qu'il l'ait approuvé totalement ou au contraire désapprouvé complètement. Travailler avec lui, c'était comme de marcher sur des œufs. Don était extrêmement paranoïaque, et je me demande même si tout son génie ne se réduirait pas à une sorte de paranoïa extrême. Nous sommes bien conscients de sa créativité aiguë, mais elle comportait un aspect négatif qui le rendait excessivement sensible à la moindre nuance. La moindre petite chose que l'on disait et dont il n'était pas assuré pouvait prendre des proportions énormes sans qu'on se soit aperçu qu'on avait fait quoi que ce soit. J'avais très souvent peur de dire le mot ou de faire la chose qui ne fallait pas et qui tout à coup aurait attiré sur moi son œil négatif. ” »

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