Ma salle. Contre le cahier, le doux clignotement du signal lumineux de mon portable ; à ma droite, le tiroir ouvert qui révèle la couverture de L’arrêt de mort entamé ce matin, parcouru au départ avec une certaine perplexité, poursuivi avec curiosité et intérêt ; des traces de Bataille, dans le ton peut-être, ou une certaine position du narrateur vis-à-vis de la femme, d'une femme…
14 février 2006