Je me suis levé tard. Aussitôt le petit déjeuner avalé, j’étais dans le sofa jaune, à la même place qu’hier, où j’ai achevé High Rise. J’ai ensuite repris les épreuves du 2 février, lecture et corrections que j’ai interrompues à un moment donné pour attraper Senza sangue que j’avais à portée de main et dont j’ai lu les premières pages à voix haute, quel bonheur. J’ai ensuite achevé mon travail sur le 2 février. Je suis monté, ai allumé l’ordinateur, mis au propre les corrections, suis descendu préparer le repas, nous avons mangé, j’ai hésité entre une grille de mots croisés devant la télé que venait d’allumer Éléonore et retourner dans mon sofa pour y poursuivre Baricco. J’ai fait mieux que de le poursuivre puisque je l’ai achevé. C’est une belle histoire, prenante ; mais la fin est un peu démonstrative, et, du reste, m’en a rappelé une similaire lue ou vue je ne sais plus où... Je ne me suis toujours pas décidé à écrire à l’éditeur italien de Venezia è una città. J’ai l’impression que je ne le ferai jamais...

 

29 novembre 2009