Éléonore m’a dit que Douchka était là. J’ai pris ma douche, suis descendu à la cuisine où elle se trouvait. J’ai pris les boîtes de corn-flakes, une tasse de thé, une bouteille de lait, le tout sur un plateau. Nous avons échangé quelques mots et je suis remonté prendre mon petit déjeuner sur mon second bureau. Puis j’ai poursuivi City en m’efforçant de m’y accrocher. J’avais encore les deux rêves en tête et toute la tristesse qui m’accompagnait depuis mon premier réveil dans la nuit. Mais c’est un beau texte et il a été le plus fort. Auparavant, j’avais entamé la lecture de Zoroastro.

 

3 janvier 2011