Ballard, les deux nouvelles suivantes : « Billenium » et « The gentle assassin ». Peu de souvenirs des deux, notamment de la seconde que j’ai eu l’impression de découvrir, et qui m’a amené à cette réflexion : le paradoxe temporel ne tient pas debout (c’est l’objet de la seconde). C’est grisant pour l’imagination, mais techniquement, si je peux dire, ou logiquement plutôt, ça ne tient pas. Thème classique de celui qui retourne dans le passé pour modifier le cours de sa propre vie et qui en meurt. Il fallait bien qu’il vive pour revenir mourir. D’un autre côté, la formule que je viens d’employer n’est pas très heureuse, puisque par définition un paradoxe ne tient pas debout… Il n’empêche que tout cela ne me fait ni chaud ni froid. Il doit certainement y avoir un moyen pour faire tenir tout cela. Feuillets :

 

16 février 2003