J’ouvre ce fichier à cette heure et, alors que la liesse petit à petit s’estompe, prend du large, de la distance, qu'il ne reste plus que quelques derniers acharnés et autres retardataires, pour mettre mes lectures à jour. Quelques livres sont empilés devant moi, ce dont je m’étonne vu le peu d’intérêt que j’ai porté à la lecture depuis quelque temps. Le premier est Besson, duquel je tire le marque-pages en espérant que rien ne s’y est inscrit: non seulement il est comble, mais en outre, c’est parfaitement illisible. J’ai passé une bonne dizaine de minutes à déchiffrer les premières lignes dont la rédaction pourtant n’est pas si vieille. Voici ce qu’elles disent :