J’ai terminé Rom@. J’avais hâte de le retrouver ce soir, je l’ai achevé avec une sorte de frénésie, mais en même temps du détachement. (Le plaisir serait lié à l’écriture – et à cette histoire qui, ouf, n’est pas celle des éternelles familles, éternels couples, du conflit du sexe et des sexes [j’avais écrit « confit » à la frappe – confit de sexe] –, le détachement à la fin un peu morte – mais comment clore une telle histoire ?) (Il y a là quelque chose de la science-fiction française des années quatre-vingts, quatre-vingt-dix ; aussi de l’anglo-saxonne de la même époque – j’ai pensé à Priest au bon temps, moins le style.) (C’est brillant, presque scintillant, c’est une belle idée – la Rome séculaire confrontée et mêlée à la Rome numérique –, mais peut-être pas une belle histoire ; il manquerait alors quelque chose. Quoi ?)