Presto dans ses nouveaux locaux ; je n'y ai trouvé que la grosse machinerie, les Gnossiennes et compagnie. Je me suis alors rabattu sur la petite librairie spécialisée dans le théâtre, rue du Trou, dans l'espoir d'y dégoter un Guitry. Point. Mais j’en suis sorti avec trois livres, dont La valse des toréadors. Comme il me restait un peu de temps, et que c'était l'heure de ma cigarette, je me suis arrêté au Bise Ness où j'ai lu quelques pages de Mélodies en regardant tomber la pluie.

 

30 mars 2001