L’idée est d’utiliser les indications de jeu qui particularisent les partitions de Satie ; Alechinsky en tirent des dessins épurés à l’encre de Chine (je suppose). Présentation aérée, c’est fin, délicat, tendre. Il n’est pas dit si elles y sont toutes ou non, mais je suppose que oui. Je n’ai pas encore vérifié, mais il me semble bien qu’il en manque (celles des Gnossiennes, par exemple). (À la réflexion, c’est tout de même une drôle d’idée, non ?)

 

12 avril 2008