« […] D’ailleurs il ne faut pas dire trop de mal de ces gens-là [aristocrates ou assimilés]. Ils sont ineptes, c’est entendu ; mais on ne demande pas à notre classe de produire des génies. Nous ne sommes pas assez nombreux pour nous offrir cela ; nous laissons cette prime au peuple qui a les moyens de décanter un million de culs-terreux sur trois ou quatre générations pour sortir triomphalement un lauréat au concours général ou un président de la République. Ce qu’on demande à notre classe, c’est d’être cohérente et de durer. Nous avons du talent à nous tous, et sur plusieurs siècles. On fait ce qu’on peut. »