Presque minuit. Il fait froid. Je ne me sens pas très bien, palpitations, oppression. Je tâche de réduire, mais j’en suis encore à huit. En même temps, je ne crois pas tout à fait que ça soit dû au tabac. L’oppression pulmonaire, oui, mais les palpitations, j’en doute tout de même un peu, d’autant que ni le cardiologue, ni Humbert n’ont mentionné cette possibilité… Journée à la maison, Éléonore dans son bureau ou face à la télé (mais pas ce soir, je n’en revenais pas : elle s’est assise dans le canapé avec un livre sans allumer la télé), moi dans mon bureau, puis dans la cuisine, repas, etc. Au matin, j’ai achevé L’Hurluberlu (de « hure » et « berlue ») sous un soleil très timide au jardin. Non : j’ai entamé Ardèle ou la Marguerite que j’ai achevé au soir au salon (dix-sept degrés, merci), une belle variation sur l’amour. La suivante est La valse des toréadors, dont je n’ai pas le souvenir…
11 mai 2013