Wiesbaden, petite terrasse de l’appartement. Au retour du DM, alors que je l’attendais à la terrasse du Du und ich, Éléonore m’a appris que juste à côté se trouvait un bouquiniste (nous ne l’avions pas vu hier). Nous y avons passé un moment, boutique à l’ancienne, si je puis dire, masse de livres jusqu’au plafond, à peine de quoi se déplacer entre les multiples rayonnages. Une dame âgée la tient ; il y a un rayon français, un autre anglais, malheureusement un peu chers. J’y ai tout de même acheté, au Livre de Poche ancienne édition, très belle couverture, Colombe, en très bon état (deux euros, trop pour la vente à moins qu’il soit bien coté ; sinon, je le conserverai). Il y avait d’autres choses intéressantes, mais chères, donc « invendables ». Et puis, je n’allais pas m’encombrer de livres (l’un des problèmes de ce périple ferroviaire : les bagages)…
9 juillet 2024