Il fait beau. Je suis à mon bureau au bureau et lis Six jours à Orval. Au-dessus, les pas sur le sol de la cantine, en lisant jattends lheure de ma deuxième cigarette. Elle ne me manque pas vraiment, mais je serai content de lallumer... Je goûte tout particulièrement ce moment :

des airs de printemps dehors, quelques pépiements doiseaux, la rumeur de lautoroute, mon regard allant du ciel aux lignes de Sacha...