Parlant de conte, celui de Printemps, Rohmer. Je l’avais déjà vu, n’en avais pas de souvenir. Je l’ai enregistré et regardé en même temps et, comme à l’accoutumée, comme pour chacun des films de Rohmer, je suis pris, charmé, séduit, de bout en bout, sans qu’il me soit possible de déterminer à quoi tient ce charme, cette séduction, charme et séduction d’autant plus forts que leur nature m’échappe totalement...