Je file avec la voiture, vais me garer à la Renaissance, sonne à tout hasard, Léo ouvre, torse nu et en short. Nous prenons un pastis qui m’apaise un peu tout en lui racontant ma triste après-midi. Je file ensuite rejoindre Éléonore. Déjà les puciers commencent à remballer, dévoilent au fur et à mesure les immondices et les saletés qu’ils vont laisser comme témoins de leur passage...