En atteignant le perron, nous sommes tombés sur Dieudonné et sa compagne allemande. Je leur ai dit que j’étais désolé, la lune avait disparu. Il a ri, a dit cette phrase dont il ne me reste que la fin : « ta lune, Guy ». Et de nouveau a ri. C’était la première fois qu’il me tutoyait. J’ai pris cela pour un signe d’amitié...