Dora m’envoie les paroles de Bambino en italien. Sur le coup, j’ai cru rêver, puis pensé à une indiscrétion de Gonzague qui, par je ne sais quel mystère, aurait réussi à retrouver sa trace (alors que j’ai tant peiné à l’effacer). Sans doute. Il n’empêche : Dora abhorrait l’italien. (Son sourire de loup à présent est revenu m’habiter...)