Ce matin, j’ai vu, collée contre une palissade et à la dimension d’une affiche, la photo de l’extraordinaire visage qui m’avait tant secoué (et me secoue toujours autant, même intensité, même trouble dans mon corps et ma raison) lorsque je l’avais découvert, au détour d’une page, illustration pour une publicité : ce visage est celui de V***, le visage, mais surtout l’expression, exactement celui qui hante mon opéra inachevé. Qui est-elle ?...