Saisie des derniers jours. Ce matin, au courrier, une lettre d’Aglaé, lettre commune adressée à une quinzaine de personnes, dont nous deux ; pour les vœux, mais aussi pour remercier toutes ceux et celles qui la soutiennent d’une manière ou d’une autre. Elles les passent en revue. Je me suis demandé, avec une certaine gêne et en attendant qu’apparaisse notre nom, en quoi nous l’avions soutenue, nous ne l’avions même pas appelée une seule fois. Elle nous remercie pour le bouquet de lys. Mais encore ? C’est bien insuffisant, un bouquet. Je ressens un peu (beaucoup ?) de honte en considérant toutes ces semaines passées durant lesquelles nous n’avons même pas pris le soin de l’appeler ou de lui écrire...