Même au clavier, je manque d’énergie. Alors, faire l’impasse sur ces deux jours ? (En même temps, tout s’est écrit au fur et à mesure alors que j’assistais à l’enterrement, parlais avec mes cousins ; et puis, hier, de même, pendant le repas, alors que je parlais avec Omer et César… Peut-être est-ce comme si j’avais déjà tout fait, comme s’il n'était plus nécessaire de rapporter. Ou plutôt, comme si le manuscrit et la pensée se confondaient et étaient une seule et unique chose...)