À l’instant, comme une apparition, Douchka se matérialise devant moi, habillée et munie d’une tasse de thé et me dit qu’elle va passer deux heures ici parce qu’elle n’a pas de clef pour rentrer « là-bas »... Comment fait-elle pour ouvrir la porte d’entrée sans le moindre bruit, pour gravir l’escalier du grenier sans faire craquer les marches ?...