Je suis en train de relire le courrier de Lubomir Naydenov, cet obscur Bulgare qui, à une époque, m’avait contacté pour obtenir de moi des nouvelles qu’il voulait traduire et publier chez lui. Il y a eu un échange de cinq à six lettres, puis l’arrêt brutal, la disparition, le silence jusqu’à ce jour où, à deux jours de notre départ pour la Bulgarie, j’ai pensé à lui, en me demandant où il demeurait et s’il y avait possibilité de le rencontrer. Il habitait Veliko Turnovo. Où est-ce ?…