Le plus atroce dans le travail, c’est
qu’il
oblige le matin à infliger au miroir la vue d’une
image torturée, un visage aux traits tordus par les traces de la mort.
Le travail confronte à une vision de la mort, bouffissures du sommeil crevé qui
sont bien celles de la mort. Le travail est une répétition à mourir...