« Aragon avait de grandes difficultés avec les typographes et les correcteurs qui ne voulaient à aucun prix laisser passer des fautes d’orthographe qu’il y avait mises intentionnellement. Il fallut quatre ou cinq jeux d’épreuve jusqu’à ce qu’il réussisse à obtenir un texte sans faute, c’est-à-dire avec les fautes qu’il exigeait. »

 

Aujourd’hui, ce serait plutôt l’inverse…