Éléonore m’a emmené à l’hôtel d’à
côté, Magnolia, à une jolie terrasse ombragée où j’ai pris un café et un Sole d’Estate,
sorte de tartuffo. Elle est retournée à l’ordinateur, je suis de nouveau à la
terrasse du Crystal, moins agréable mais plus éloignée de la route. Je vais
poursuivre Agus, un peu trop autobiographique à mon goût : la nonna, la famille,
etc. (Relire p. 54 à 56.)
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