Je sors de chez le petit libraire près
de l’embarcadère de l’uno (toujours en travaux). J’espérais y
trouver le dernier
Tabucchi dont j’ai oublié le titre. À la place, j’ai acheté
un Agus, au hasard, Mal di pietre, dont Léo m’avait parlé.
20 juin 2009