Je l’ai achevé ce matin (frais, mais ensoleillé), dans mon sofa favori et emmitouflé dans mon peignoir bleu nuit. Guitry a eu une idée similaire quelques années auparavant avec Toâ, avec plus de finesse et de bonheur. Ici, le procédé est un peu lourd. Il s’en sort plutôt mal (notamment la fin) ; de toute évidence, ce n’est pas fait pour lui. Pour le reste, et comme à l’accoutumée, cynisme et désenchantement (encore que ça ne soit pas le terme qui m’était venu à l’esprit hier et qui, seul point commun, se terminait aussi par « ment »). La mère de Sylvette ne figurait pas dans la distribution lors de la première.
21 février 2005