J’ai attendu et rien
n’est venu. Rien de ce à quoi je pouvais m’attendre, encore que je ne
me sois attendu à rien puisque je savais parfaitement (et je l’espérais
car il était logique que cela se termine comme ça avait commencé, et
j’aurais été déçu si cela n’avait pas été) comment ça allait
s’achever, c’est-à-dire, je viens de le dire, comme ça avait
commencé… Suit un très court texte, manière de journal ou de courrier, où
il dit comment il a été amené à écrire ce texte, c’est-à-dire suite à
l’éblouissement qu’il avait connu en lisant un texte de Dhôtel, La
chronique fabuleuse. Il est très intéressant et très instructif de lire Cette
nuit-là après Le Vent. Ça ne résout pas la question de savoir
si j’aime ou non. En tout cas, ça me laisse songeur…
18 février 2002