Recueil de quatre-vingt-trois contes. Guitry dit qu’il en écrivait un par semaine pour un quotidien, et la qualité s’en ressentait forcément. Ça va donc du médiocre, du désolant à l’hilarant et au trait de génie… (Je ne suis pas sûr que le terme « médiocre » convienne, soit juste. Il n’y a pas de médiocrité chez un homme comme lui, dans des écrits de ce type : elle est revendiquée, fait partie du jeu…)

 

5 octobre 2001