Prêté par Éléonore. Chroniques parisiennes, en quelque sorte, courts textes et récits à propos de lieux connus, de personnages rencontrés, certains célèbres (Vollard, Jarry, Gourmont, Catule-Mendès). Dommage que l'écriture soit si maladroite, quasi scolaire. Malgré tous mes efforts, je n'ai jamais pu m'en détacher tout à fait... Une remarque amusante, p. 77 : « Léon Dierx racontait avec complaisance des histoires du temps où il était au ministère. Il y faisait sa besogne en songeant à la poésie. Une fois, il devait écrire à un archiviste de sous-préfecture et au lieu de Monsieur l'Archiviste, il écrivit Monsieur l'Anarchiste, ce qui causa un grand scandale dans la sous-préfecture. » C'est ce qu'Éléonore avait compris que j'étais, anarchiste, quand, en réponse à sa question, je lui avais dit que j'étais archiviste... (Une remarque de Moréas sur Dante page 103...)
7 novembre 1999